where is the truth ?
J'ai beau être et me vouloir futile, je me laisse toujours rattrapée par un manque, un doute ou une reflexion qui me plongent vers MOI, mes idées, mes idéaux...
Je me retouve ainsi aujourd'hui, face à moi-même, réalisant que "ceci" n'est pas la vie dont je rêvais mais qu'au fond, c'est peut-être mieux... Je prends conscience aussi de ce que pourrait devenir ma vie : célibataire, par choix et circonstance, en version individualiste (comme ma "chef") ou en version "humaniste" (comme S.). Je sais surtout q'uon ignore d equoi demain sera fait et quil ne demeure que la certitude des choix de l'instant.
En ce moment, j'ai besoin de liberté. J'aimerais me sentir "soutenue" mais sais que cela n'est pas possible. J'entends des NON autour de moi et pour la prmeière fois, j'assume ces différents. Je m'adapte. Que m'inmporte d'entendre "y a un mur devant toi, tu vas te le manger...", si moi, j'ai envie de foncer dedans (je repense à cette scéne de "HEAD-ON"... I feeeeel you...). Après tout, ce mur est peut-être en papier :) et je dois apprendre à choisir mes erreurs, également. Ma vie s'ouvre devant moi, je lui donnerai l'orientaton que je souhaite dans les mois à venir malgré mes incertitudes. J'ai également appris cela : je ne suis certaine que d'une chose, c'est que Dieu existe ; le reste porte sa part de doute, intrinsèque à l'âme humaine. Dieu est Amour donc l'amour existe mais il faut parfois un temps de reflexion pour réaliser que l'amour à 2 est possible "ad vitam aeternam". Après tout, les "histoires d'amour finissent mal, en général". Mais est-ce pour cela qu'elles n'auraient pas le droit d'être vécues ? Si on n'y croit pas, comment réussir ?
Si la solitude est liberté, est-ce que l'amour n'est qu'aliénation ? La vie à deux n'est-elle pas une autre forme de liberté, plutôt ?